Tous droits réservés Alain Choubard, septembre 2007. Reproduction
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LES MONUMENTS AUX MORTS SCULPTES EN FRANCE : CREUSE
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Evaux-les-Bains
ARRONDISSEMENT : Aubusson.
CANTON : Evaux-les-Bains.
SCULPTEUR :
LECOURTIER Prosper-Jean (1851-1924) ; né à Gremilly (Meuse) ; habite Paris.
signature inscrite sur le monument : oui.
EDITEUR :
VAL-D'OSNE (Société anonyme des fonderies et ateliers de construction du), Paris (siège) et Osne-le-Val, Haute-Marne (usines).
ANNEE DE REALISATION (de la sculpture) : 1921.
datation inscrite sur le monument : non.
DATE D'INAUGURATION : 1er novembre 1921.
MATERIAU (de la sculpture) : fonte de fer bronzée.
COÛT GLOBAL : 38.000 F.
OEUVRES EN RAPPORT : ce Coq gaulois (n° 261 au catalogue du fabricant) est une oeuvre de série présente sur au moins une centaine de monuments dans toute la France. Plusieurs versions ont été proposées aux communes : ailes ouvertes ou repliées le long du corps, volatile dressé sur une sphère - comme ici - ou sur une plus classique terrasse. Il ne faut pas confondre cette oeuvre avec un autre Coq du même sculpteur animalier édité, cette fois, par la fonderie Durenne (référence C au catalogue) : à l'inverse de celui présent ici, il avance la patte droite et comporte sur le support une branche de laurier.
INFORMATIONS DIVERSES : ce monument n'occupe plus son emplacement d'origine.
SOURCES :
Archives Municipales.
CANTON : Evaux-les-Bains.
SCULPTEUR :
LECOURTIER Prosper-Jean (1851-1924) ; né à Gremilly (Meuse) ; habite Paris.
signature inscrite sur le monument : oui.
EDITEUR :
VAL-D'OSNE (Société anonyme des fonderies et ateliers de construction du), Paris (siège) et Osne-le-Val, Haute-Marne (usines).
ANNEE DE REALISATION (de la sculpture) : 1921.
datation inscrite sur le monument : non.
DATE D'INAUGURATION : 1er novembre 1921.
MATERIAU (de la sculpture) : fonte de fer bronzée.
COÛT GLOBAL : 38.000 F.
OEUVRES EN RAPPORT : ce Coq gaulois (n° 261 au catalogue du fabricant) est une oeuvre de série présente sur au moins une centaine de monuments dans toute la France. Plusieurs versions ont été proposées aux communes : ailes ouvertes ou repliées le long du corps, volatile dressé sur une sphère - comme ici - ou sur une plus classique terrasse. Il ne faut pas confondre cette oeuvre avec un autre Coq du même sculpteur animalier édité, cette fois, par la fonderie Durenne (référence C au catalogue) : à l'inverse de celui présent ici, il avance la patte droite et comporte sur le support une branche de laurier.
INFORMATIONS DIVERSES : ce monument n'occupe plus son emplacement d'origine.
SOURCES :
Archives Municipales.