AUTEURS COMMUNES ACCUEILARRONDISSEMENT : Charleville-Mézières. CANTON : Villers-Semeuse. SCULPTEUR : NICOT, Louis-Henri (1878-1944) ; né à Rennes (Ille-et-Vilaine) ; habite Paris. ANNEE DE REALISATION (de la sculpture) : 1922. DATE D'INAUGURATION : 11 novembre 1922. MATERIAU (de la sculpture) : calcaire. COÛT GLOBAL : ?. OEUVRES EN RAPPORT : malgré son absence de tous les recensements de l'oeuvre de Nicot, il faut rendre ce monument à son corpus, comme le confirme son descendant. Et d'ailleurs, des répliques exactes de la sculpture ici présente - et dues à Nicot avec certitude - se trouvent à Paramé (Ille-et-Vilaine) et Saint-Julien-de-Civry (Saône-et-Loire). Des variantes de cette composition figurent quant à elles à Camors (Morbihan), Etretat (Seine-Maritime), ainsi que, à l'origine, à Pleurtuit (Ille-et-Vilaine). INFORMATIONS DIVERSES : ce mémorial n'existe plus aujourd'hui : son iconographie clairement anti-germanique - le Poilu écrasant l'aigle allemand - poussa à sa destruction sous l'Occupation, en juillet 1940. SOURCES : Communication écrite de M. Louis-Henri Nicot, petit-fils et biographe du sculpteur, février 2013. BIBLIOGRAPHIE : 1986 : Lepère (Marcel), Gespunsart. Chroniques du XXème siècle , Gespunsart, Amicale laïque, p. 42-43, 49. 2014 : Barbier (Denis), Les Monuments aux Morts des Ardennes ou la preuve tentaculaire , Lucquy, Editions Denis Barbier, p. 96.
LES MONUMENTS AUX MORTS SCULPTES EN FRANCE : ARDENNES
Gespunsart (ancien monument)
Tous droits réservés Alain Choubard, décembre 2010. Reproduction autorisée hors fin commerciale sous réserve de mention d'origine